Quand j’ouvre la porte en vers de mon jardin d’hiver Pas d’odeur de tabac ni de fumées nocives Dans ce foyer fermé où brûle un feu d’enfer Des bûches qui se consument des flammes qui s’activent
Des branches de sapins vert et des branches de houx Des roses de Noël des jacinthes odorantes Des fleurs que l’on cultive en vers qui riment au bout Naissent des poésies aux odeurs enivrantes