A l’ombre des palmiers aux palmes élastiques Les notes de musiques s’élèvent en spirale Un vent doux caressant tel un souffle apaisant Fait ondoyer les palmes et chavirer les cœurs
La mer qui déferle d’un mouvement sans trêve Accompagne le vent dans son divin concert Tel un piano qui jase les notes qui s’égrainent Dessinent sur le sable des sillons éphémères