Bien souvent tu t’emportes tu craches tu vomis Tu rages tu postillonnes vitupères tes amis Et tel un dieu vivant à qui tout est permis Tu considères les hommes ainsi que des fourmis Que tu balaies sur ton passage sans compromis Hurlant comme un dément au gré de tes envies Ainsi qu’un fou de dieu traite ses ennemis La mort te chevauche qui vient faucher la vie