Pour servir des machines mieux vaut des ânes Que des humains sauf quand elles tombent en panne Plutôt que d’accomplir des taches répétitives Sur une machine chacun espère une vie active Plutôt muser au bord de l’eau voir en chemin Que de passer ses jours à l’usine c’est humain Car c’est notoire l’esprit se damne à ne rien faire Et les hommes se condamnent à une vie d’enfer