Semblables à des fils d’or des aiguilles tombent du ciel Comme à travers les arbres les rayons du soleil
Etourdis de chaleur les estivants se pressent Sur le sable des plages pour évacuer le stress D’une vie laborieuse ou sans cesse le temps presse Comme souvent près de l’eau comme ils sont sans travaux Et beaux comme des dieux grecs comme ils sont sans rivaux Ils ouvrent un livre tout plein de mots et comme ils lisent Ils se sentent apaisés comme dans une église Et en présence de dieu que le temps s’éternise