L’homme ce consommateur abruti de médias Ne songe plus à rien qu’à vivre dans l’immédiat Sa soif de consommer sans cesse inassouvie Epuise la nature quitte à perdre la vie
Demain la forêt verte refuge de la faune Paradis végétal ne sera plus que cendre L’homme qui s’élevait ne fait plus que descendre Trop occupé qu’il est avec son téléphone