Eaux vives nées de la pluie de la fonte des neiges Qui du cycle de l’eau perpétuez le manège Comme on voit en juillet des coureurs à vélo Sur les routes de France défiler les maillots
Dévalez les montagnes courez vers les vallées Foncez têtes baissées toujours à pédaler Comme des roues qui tournent étincellent les rayons Pour rejoindre la plaine tracez de blancs sillons