Elle glisse plus qu’elle ne marche ondulant comme un cygne Et cache son visage sous une mousseline Dans la peine ou la fête elle sait se montrer digne C’est ainsi bien souvent que la plume suit la ligne
La brune musulmane porte la djellaba Les colliers des parures qu’elle a fait de ses mains Elle rapporte avec elle un air de là bas Le parfum enivrant des branches de jasmin