Nous sommes aux pieds des Alpes au bord du lac de Côme Pas de salle de concert tout se joue en plein air Un décor romantique pour une pièce de théâtre Franz Liszt joue sur scène raide comme un majordome
La musique est divine elle nous ouvre le ciel Il suffit de sept notes pour composer des sons De douces mélodies qui bercent les oreilles Et que chacun comprend sans prendre de leçons
Toute une cavalcade de notes liées Ainsi que l’on monte en courant les escaliers Et que les talons hauts résonnent sur les marches Le piano crescendo met la musique en marche