Des heures durant le vent à souffler en tempête Il a soufflé comme un dément comme une bête Il est entré dans la forêt ainsi qu’un loup Dans une bergerie à moitié fou de rage Il a saisi ses proies les prenant par le cou Donnant d’horribles coups poussant des cris sauvages D’horribles hurlements à vous glacer le sang Laissant l’affreux spectacle des arbres abattus