Si les stances de l’averse nous affligent et nous blessent C’est que l’âme traduit la nature par nos gestes Les messages du dehors ont en nous leur adresse Nos sens les reçoivent et les mots font le reste
Souvent les hommes sont pris comme la main dans le sac Sur le bord de la mer où finit le ressac A faire des ricochets à faire dans l’eau des trous Pour répondre à la mer qui vomit des cailloux