Amoureux du désert des hommes chevaleresques Épris de liberté de musique et du verbe Porteur d’un idéal et philosophes en herbe Aimant les femmes le vin en ont fait leur maîtresse Il chevauche dans les dunes un paysage de courbes Et trace quand il court de folles arabesques
Quand il part au galop sa crinière vole au vent Comme le sable du désert alors souvent Comme sous la pluie d'orage les oueds charrient l’eau On voit ses veines bleues qui roulent sous sa peau