L’Acropole d’Athènes le Colysée de Rome Les demeures éternelles se montrent bien fragiles De la langue d’Homère de celle de Virgile Du Grec et du Latin nous conservons l’arôme
Tout change et se transforme ainsi font les atomes Les hommes au fil des jours deviennent des fantômes Quand l’âme des défunts monte en flèche vers l’éther La lumière des étoiles tombe en pluie sur la terre
Si nos faces dans la glace lentement se délabrent A chaque aube nouvelle un nouveau candélabre Nos jours sont comptés sans qu’on sache le terme
Nous naissons à la vie avec la mort en germe Seul l’Amour nous fait vivre qui rend belles les femmes Cet Amour infini qui renforce les âmes