Comme la venue des larmes la beauté vous désarme Sans élan sans effort mais avec allégresse Avec la légèreté d’une aile qui bat au vent Votre visage s’éclaire vous êtes sur un nuage
Pour des fleurs coupés qui trempent dans un vase Des paysages peints des tâches de couleurs D’habiles combinaisons de métal et de pierres Des silences et des notes savamment orchestrés
Pour des vers ciselés qui mettent l’âme en lumière Que le cœur apprécie que les lèvres fredonnent Pour un rayon qui joue dans des cheveux qui volent Pour un aveu reçu qui vous laisse sans parole