C’était l’été saison des festivals Un cricri véritable bête de scène La nuit venue s’était mis à chanter
Le barde venu très jeune à la musique Joue d’un violon aux accents métalliques Qui l’accompagne dans tous ses récitals
Des chansons douces qui jamais ne vous lassent De belles paroles des mots qui réconfortent Sur la fuite du temps les amours mortes Puisque l’amour jamais ne dure hélas
Une voix universelle un chantre un griot Un chanteur né qui dans les champs abondent Dont la voix ne passe pas à la radio Voix de ténor ou bien de basse profonde
De ces voix d’or qui chante sans micro Que l’on entend parfois dans le métro Dans les cours à Paris Rome ou Rio Ou en terrasse à l’heure de l’apéro