Les parcs et jardins sourient aux visiteurs Des chaises en fer font cercle, attendant le lecteur Des salons littéraires se forment in-situ Les allées linéaires sont bordées de statues Les saisons et les fleuves sont figés dans la pierre Les héros et les dieux tous hérités d’Homère Très vite rebaptisés de par un nom latin égarés sous nos cieux sous nos yeux interrogent Césars et Alexandre se drapent dans leur toge Les vénus posent nues comme sortant du bain Comme un œil rit ou pleure le cœur est incertain Une fontaine scintille au milieu d’un bassin