A l’heure où sur la France descendent les frimas Profitant du climat de la côte d’azur Comme un enfant que tout amuse rit de bon cœur Tu étonnes ton monde par ta franche gaieté
Tu viens tirer la langue à la morosité Répandant ton parfum ton rire ensoleillé Rien qu’en secouant la tête ce qu’aucun mime osa En y réfléchissant c’est très rafraîchissant