Comme le soleil réchauffe la terre de ses rayons Le poète divin a quelques sortilèges En volant au secours des âmes affligées Il chasse les aigreurs les dégoûts les chagrins
Un feu subtil pénètre sous la peau le corps à des frissons les yeux sont sans regard la langue Se brise sous quelque forme que son chant se déguise Un souffle passe dans ses mots qui met du rose aux joues