Un vent grivois sournois félin souffle en automne Il arrive comme un renard dans un poulailler On voit les plumes voler et les poules affolées Courir partout criant beaucoup en essayant D'enfouir la tête dessous leurs ailes pour se cacher Ainsi voit-on les jolies femmes rabattre leurs jupes Ou pour ne pas qu’on lise leur honte de laisser voir Ce qu’elles nous cachent se faire un voile de leurs mains