La femme est un violon que l’on prend par la main Et qui vient se nicher juste au creux de l’épaule Pour jouer toute la gamme des sentiments humains A qui l’archet vibrant arrache des plaintes aiguës Des cris qui vous déchirent des rires dont elle raffole Qui sont des baumes pour le cœur ou bien de la ciguë Quand elle se met à pleurnicher pour faire commun