De la grappe où le ciel étoilé se reflète D’où sort cet élixir qui met le cœur en fête De ces gros grains gonflés comme des outres pleines Couleur rubis comme le sang qui coule dans nos veines
De ces ceps tordus adossés aux coteaux Semblables à ces vieillards courbés de rhumatismes Que le soleil retape par quelque magnétisme Et dont on voit les veines qui saillent sous la peau