Quand on découvre le monde des affaires On voit du foin au râtelier et de l’eau claire On ne voit pas le gros tas de fumier qui pue Ni le crottin qui flotte dans des eaux corrompues
Ce n’est pas l’air iodé que porte la brise marine Venu de l’océan qui nous flatte les narines Mais l’odeur des écuries que nous rabat le vent Odeur de paille humide de pissat d’excréments