Une bergère attendrie à ouïr les feuilles mortes Écoutait la chanson du vent devant sa porte Le vent lui murmurait la voyant de la sorte Tu n’as qu’un mot à dire pour qu’aussi je t’emporte
Son cœur disait sois sage écoute ta raison Ce vieillard déménage il n’a pas sa raison Il va te mettre en cage ses bras sont une prison Ne fais pas cette folie son corps lui dit ; Osons !