Ils étaient deux enfants qu’aucun maux ne dérange Deux êtres lumineux comme le sont les anges Dans un corps innocent de parfaits petits anges Le chagrin la tristesse tout leur étaient étrange
Tous deux portraient les masques offert par la nature Ils ouvraient des yeux ronds sur les choses de ce monde Leur bouche attendrissante ayant sucée leur mère Formulait des mots très doux et jamais rien d’amer
Pas la moindre moustache pas une ride au front Quand un mot incompris les touchait au profond Ils versaient une larme pour en laver l’affront
Adultes ils ont connu les affres de l’amour Les promesses non tenues les douteuses combines Lui s’habille en pierrot et elle en colombine