en des temps pas si vieux deux mille ans c'est hier les sages de ce temps là n'avaient pas froid aux yeux c'étaient des hommes instruits qui vivaient au grand air
et passaient leur temps libre à contempler les cieux les yeux émerveillés devant tant de lumière Ils n'avaient pas de mots et restait silencieux
Devant de beauté ils préféraient se taire Malgré tout les plus jeunes ou les plus audacieux N'écoutant que leur cœur leur récitait des vers
C'étaient de beaux serments quoiqu'un peu prétentieux Chants d'amour à la femme en l’occurrence la Lune Dis avec des mots tendres tout à fait délicieux
Ceux qui chantent à la lune ne font jamais fortune