La terre végétale ne supporte pas le vide Et la végétation bientôt couvre le sol Il en est tout de même d’un cœur qui se désole Proches des terres agricoles sont les terres arides.
Hors d’un fouillis de ronces, demeure impénétrable, Des bras chargés d’épines glissent rampent serpentent s’enro Forment des tentacules souples comme des câbles Asphyxiant toute vie étouffant toute envie
Face à cette agonie au malheur qui l’accable Tout homme cultivé tout être raisonnable Sensible à la beauté devant la nuit qui gagne Ne peut que réagir et se mettre au travail