Au pays du mistral et de la langue d’oc Près des tuiles romaines des villas aux murs ocres Malmené par les ans le vent les coups de mains Comme un âne têtu sur les pierres du chemin
Il paraît laid difforme couverts de plaies de haut en bas Son feuillage vernissé à souffert aux combats Au vent il dit l’amour qui le tient dans les chaînes Ces fruits contiennent une huile qui parfume l’haleine