La complexité n’est plus ; vive l’ordinateur ! Peuplé d’énigmatiques icônes ce beau miroir Jadis trouble et obscur étend son rayonnement Chargé des tâches de dés enchevêtrement
Hors des passions il rend le monde élémentaire Sans variation mû par on ne sait quelle hélice Il fait de chaque jour à naître une ondelette De chaque coeur un cristal de chaque heure un délice