Toi pour qui ils s’enflamment Depuis plus de vingt siècles Pour tes belles rondeurs Toi qui comme la femme Est soumise à des cycles Qui connait des vapeurs Et des sautes humeurs Une clarté sans chaleur Ces hommes de valeur Qui te voulaient pour un empire Unique objet de leur désir Ont su te conquérir Dont tu gardes la trace Sur ta face si douce