La fuite ailée des jours et la course du temps Cette onde sonore toujours en mouvement L’esprit brillant d’un elfe dans le corps d’une ondine Si semblable à l’eau vive à la pluie qui ravine
S’oppose à l’eau muette au silence de l’étang A la surface lisse qui réfléchit le firmament Miroir que rien ne trouble sinon la pluie qui mouille L’aile du vent ou bien le saut d’une grenouille