Dans la chaleur des mois d’été on se repose La saison estivale c’est la saison des bals Quand chantent les cigales s’ouvrent les festivals Mûrissent les tomates fleurissent les lauriers roses
Sous le ciel azuré le soleil au zénith La mer immense miroir s’offre à vous sans limite Des palmiers toujours verts au ciel s’épanouissent Telles les gerbes de flammes d’un feu d’artifice
En quête de nourritures ouvrant leurs ailes immenses Des bandes de mouettes rieuses l’œil rond tournent en maraud L’ombre se réfugie sous les pins émeraude
Et sur le bord des plages la mer est là qui brode Où que l’on soit sur terre la mort est là qui rode Des hommes pris de folie sombrent dans la démence