Sous la caresse du vent se balancent les palmes Tel un bateau à l’ancre que berce un roulis doux C’est une invitation à retrouver le calme A partir en vacances en juillet ou en août A ralentir le rythme, oublier les heures sombres
Bercé dans le filet des rayons et des ombres C’est comme à écouter de la musique de Bach Une suite un prélude un sublime adagio On se sent transporter comme dans un hamac A compter les moutons dont on perd vite le nombre