Epuisé hors d’haleine le vent est au repos Tel un dieu de l’Olympe étendu sur sa couche L’horloge qui jamais ne s’arrête ni ne se couche Au tic-tac obsédant irritant pour la peau
Qui aux souffrances de l’homme est sourde comme un pot Qui chaque année nous taxe et augmente nos impôts Offre un visage plus détendu et plus dispo Semble prête à faire halte à entendre nos propos