Dans ce monde matériel et dépourvu de charmes Où l’argent rend l’homme vil menteur et égoïste Où les riches s’amusent quand les pauvres s’alarment Tu doutes au fond de toi que le bonheur existe
Dans la ville qui t’étouffe tu te sens surveiller Tu voudrais être utile sans te rendre servile Mais tu dois quémander si tu veux travailler Marcher la tête basse et t’inscrire dans la file
Partout les politiques utilisent des drames Pour frapper les consciences pour faire prendre les armes Et pour bien qu’on comprenne ils envoient les gendarmes Mais fais moi ton sourire et sèche un peu tes larmes