Derrière les mots souvent se cache une inconnue C’est l’X des mathématiques le plein soleil Celui que les poètes dans des vers ingénus Compare à du sang rouge pareil au jus des treilles
La poésie et les mathématiques marient Le fond avec la forme et tous les deux varient Suivant l’axe choisi et l’angle retenu Il suffit bien souvent pour trouver l’inconnu
De varier l’hypothèse ou la formulation De relâcher la bride à l’imagination Pour que la beauté nue comme naît une étoile Se dégage de la nuit qui la couvrait de voiles