Pour qu’une pierre sans vie se mette à briller Comme ces étoiles la nuit que l’on voit scintiller Non comme les feuilles de l’automne qui par milliers Aux premiers coups de vent iront s’éparpiller
Il faut d’abord se taire et apprendre à tailler Mais comme un lapidaire son vouloir détailler Etre un temps solitaire et beaucoup travailler Puis calmement la vie s’écrit en pointillés