L’horizon dégagé où picorent des focs Le ciel sans limite où le regard se perd La course des nuages le vol des oiseaux blancs La mer sans frontière et le souffle des vents
Font qu’arrivent chaque été des milliers d’estivants Ils viennent se délasser sur le sable mouvant Peau contre peau comme des colonies de phoques Et les plus corpulents sous le soleil suffoque
Les belles en tenu d’Eve exhibent leur plastique Pour protéger leur corps elles enduisent leur peau De lait d’onguents aux vertus sympathiques
Produits pharmaceutiques aux essences exotiques Certaines ont les boutons que leur font les moustiques Les plus prudentes protègent leur tête d’un chapeau