Je dessinais des poires des pommes et des raisins Des feuilles et des branches arrangées à dessein La terre n’est pas avare de sujets de dessins Mais ce qui plaît le plus c’est le nu féminin
Leur marche chaloupée quand elles se déplacent Leurs gestes plein d’amour quand elles vous embrassent La façon qu’elles s’habillent toujours avec audace Qu’elles se maquillent ou qu’elles se coiffent devant la glace Leurs membres potelés et leur chair un peu grasse Tout en elles respire la beauté et la grâce
Elle posait nue le roi n’était pas mon cousin J’en salivais d’avance à la vue de ses seins De ses fesses charnues épaisses comme des coussins Préférant la sanguine je laissais le fusain