Le cœur s’afflige muet de douleurs le corps se fige La tête s’incline comme une fleur sur sa tige Les drames se répètent la mort n’a pas de cesse A chaque drame chacun exprime sa tristesse Comment tout être sensible quand un malheur le blesse On voudrait être ailleurs et voir la vie en rose Oublier le malheur passer à autre chose Le cœur dans un étau on s’efforce à sourire Mais on a pas les mots ni le cœur à faire rire Les bras vous tombent la tristesse vous désarme sans ire Les visages fondent en larmes sans plus se retenir