Sur les chemins de Katmandou Que domine le toit du monde On imagine l’œil à la ronde L’Inde où se pressent les hindous La Chine toute proche et Dieu partout
Vers les plus hauts sommets du monde Se croisent en ville des hommes du Monde Des vacanciers qui vagabondent Des portefaix et des sâdhus Couverts de cendres les cheveux longs Sans rien sur eux en loques immondes Et ceux qui forment le quart-monde Qui n’ont pas renoncé à tout
Et dans le ciel que chacun sonde Le fin sourire de la Joconde