La nuit se met au lit elle revient s’étendre De la chambre à coucher nous parviennent des sons De la terre assoiffée remonte des parfums Pour se déshabiller elle a des gestes tendres
Elle lisse ses cheveux avec une brosse en soie Qui jette des lueurs des étoiles sans nombre Sa brune chevelure recouvre ses épaules Et devant la psyché la lune s’aperçoit