Tout homme possède une âme qui l’entraîne loin du port Il voyage dans l’espace il s’envole il est libre Mais l’océan menace son fragile équilibre Alors même qu’il confond bâbord avec tribord Qu’il croît dompter l’amour il tombe sur un roc Le choc l’estomaque et lui ouvre la coque Sa voile se déchire et comme son cœur chavire Les larmes de son corps passent par les sabords