Sur les terrasses austères Sur la lie des lagunes Et la brisure des laisses de sable La paix du soir s'insurge De la lenteur acide Des liturgies sacrificielles.
Ta poitrine de marbre Est douceur lisse et vague De vague lasse et lisse Un frémissement d'embruns S'ameute en ton regard
Sous l’ombrelle assagie, Indolente et farouche Tu cueilles des baies rouges Qui s'écrasent à ta bouche.