Le printemps de ville attendu D’un chant, qui dans l’espoir s’étonne… Tel un oiseau que l’on braconne Se sauve dans l’air suspendu, Rêve en vers l’espoir révolu.
Douceur dans ton esprit frissonne : Le printemps de ville attendu D’un chant qui dans l’espoir s’étonne…
Ton pas vainc le temps pourfendu, Le cœur des rues s’ouvre et bourdonne… Est-il vrai qu’au jour s’abandonne De la vie un rêve impromptu, Le printemps de ville attendu ?