L’insolence de l’amour est là, dans ton regard. Le monde, sans ton visage me paraît si blafard. Quand tu es loin de moi, je veux être amnésique. Mais tu es toujours là, ma sublime musique. Etre tout près de toi sans pouvoir te toucher, Je suis un hussard et je veux te basculer, Percer le mystère et savoir pourquoi je j’aime. Etreindre ton âme et me rire de l’anathème. Je veux avoir l’impression qu’enfin tu es mienne. Attendre qu’enfin tu refermes les persiennes. Dans le champ d’un autre pousse cette fleur magnifique. Je ne vie que pour humer son parfum magique. Mon amour pour toi me fait oublier le temps. Mon orchidée, tu embellis tous mes printemps. Soudain, je sais que tu es la flamme de mon rêve. Je vois le paradis Ô ma femme, mon Eve.