Dans la vie, personne ne sort du combat gagnant. Pour certains, accumuler est un jeu marrant. Ils gesticulent, quitte à devenir des méchants. Ils se moquent de ceux qu’ils appellent les fenians. Ils se glosent mais ils sont à deux doigts du néant. Les fiers chevaliers veulent chasser le mécréant. Un cancer les ronge, il s’appelle le jour de l’an. L’hiver veut rivaliser avec le printemps. La nouvelle saison est l’étalon du temps. Nobles et croquants, ayez peur des saisons. Elles nous usent tous et de nous auront raison. Ils y en a bien-sûr qui croient au ciel, ces croyants. Ils n’ont même pas fait l’essentiel, ces insouciants. Le père est un dieu qui pousse son fil en avant. Mais son fil considère son père comme un parent. La cupidité nous instille son poison. Résistons et attendons d’avril le poisson.
