Un sibyllin rôdeur des limbes, Vagabond du froid trop indulgent aux lubies, Inquisiteur des faux-semblants, Je vous connais. J’entre en lice sans aucun nimbe. Laissez bercer vos phobies. Je n’ai certes pas de destrier, accablant, Laissant l’Écuyer de sa droite. Priez lucarne de se faire plus étroite.
Fais toi violence et détourne le regard.
Se réverbérerons les sceptres. Ainsi que ceux sans réponses, recommencer. Comme eux exsangues patriarches. J’avais voulu être corsaire, mes ancêtres. Être inculqué et cadencé. Pour honnir, S’approprier puissance en chaque arches. Pardonnez à tous téméraires, Ces légendes, puisqu’ils n’ont pas voulu s’abstraire.
Fais toi violence et détourne le regard.
Sbires des détracteurs du lierre, Ravageurs de la fin, stoïques et martiaux. Leurs velléités endiguées Séides d’une, perfide, trop dure pierre. Mes monolithes Impartiaux. Par Styx, Achéron et Léthé, même ligué. S’ils firent vœux de loyauté. C’est qu’en nul autre n’exista sa royauté.
Fais-toi violence et détourne le regard.
Plus jamais fouetté d’embruns clairs. Qui osera déroger en leurs jugements? Apaisés d’éperons du clerc. Leurs dernières heures furent engagements.
