Le jour se lève par-dessus les champs de fleurs, Parsemant de ses rayons la planète Mère, Offrant aux spectateurs un tableau de couleur, Peint de façon infinie à même la terre.
Les nuages poudrant le turquoise du ciel, Ils vont sur la grande mer jusque l'horizon. Les arbres tendent leurs bras pour l'oiseau de miel, Ceux-ci magnifiquement levés sur les monts.
Les oiseaux volant dans le vent pur de ce monde, Enchantent les lieux de leurs mélodie joyeuse. Des lacs ponctuent la verdure d'humides ondes, Plein d'une nature de couleurs merveilleuses.
Un duo d'enfant foule l'herbe de ce sol, Riant et jouant sur les terres de ce royaume, Agitant leurs bras comme pour prendre leur envol, Sous les yeux bienveillant de la Femme et de l'Homme.
La magie emplis ces lieux, où Dame souris, Faisant jouer de la plus belle des mélodies, La paix est reine de cette vallée de vie.
Lumière chaleureuse de notre Soleil, Orangée puisqu'elle se couche sous son voile, Qu'est l'horizon de ce gigantesque pays.
Dans ce tourbillon, par les gens dit irréel, Les savants dictant qu'utopies ne sont que rêves, Leur erreur est paradis qui n'est utopie !