Pourquoi ce monde-ci me mène-t-il là-bas ? J’aime une femme, elle devrait m’apprécier Moi, je le lui avoue elle m’en méprisa… Tout instant avec moi ne peut que l’ennuyer.
Pour ne pas me peiner, elle n’ose le dire Elle me fuit, me nuit, m’évite, et me détruit Persuadée aussi de ne jamais médire En m’oubliant. Et moi je pleure chaque nuit
Moi je voudrais juste qu’elle puisse savoir Que je préfère la vérité, car la voir Partir, courir loin de mon pauvre être le jour
La nuit oublier de venir pour mieux m’enfoncer Moi perdu être qui est de tous méprisé Je ne garde alors pour vivre que cet amour.