D'un pas flottant,la Terre où elle se déportait déjà la jalousait, Sur le trottoir, un panneau d'interdit,le toucher n'était pas convié, le visuel toléré, Une brume mise en avant,pure et transparente,elle envoyé des signaux qui s'écrasait.
De derrière, une dentelle ennuyeuse se laissait naïvement admirer sous des fines couches de tissus,douloureux fardeau rétinien. Son buste,impétueuse distraction de marins farouches, se dressait comme la couronne d'une reine fraîchement héritée.
Son visage,simulait la douceur de la cueillette des roseaux du Nil,simulait une pastelle parfois satin. L'heure n'était pas à la gloire, ni à la prétention,mais à la reconnaissance florale d'une nouvelle espèce d'orchidée sublimée. La foret se met à nue, autour,des regards avares masculins formants des cercles d'inespoirs cumulés,laissant la nature reprendre ses droits.
Au nom du Père, du fils , du sein... Blasphémateur ! Je tronçonnerai les embuches de ton destin semblant si parfait, t'emporterai dans des branches loin des prédateurs, Se reposer à deux loin de tout, la tête Saint d'Esprit.